Philippe Allart writes:
> > Il faut ensuite déterminer comment traiter ce problème.
> > L'ignorer en postulant qu'il disparaitra n'est pas une bonne
> > stratégie. Décourager les communes, comme vous le faites remarquer
> > n'est pas non plus une bonne stratégie. Il serait intéressant de
> > trouver une bonne stratégie. Avez-vous une idée ?
>
> Il y a celle que j'ai proposée.
Je n'ai pas du comprendre. Pouvez-vous la reformuler ?
> Je ne suis pas trop d'accord pour utiliser une solution libre de .NET.
> Ce serait encourager les mauvaises habitudes, tout en laissant les
> rennes à M$.
Vous supposez que Mono et/ou DotGNU laissent les rennes à
Microsoft. Pour quelle raison ? Il y a la question des brevets
logiciels mais cela ne concerne pas l'Europe. Voyez vous autre chose ?
> > Le minimum vital consiste à identifier clairement et
> > visiblement les composants dépendant de logiciels propriétaires, comme
> > le fait Debian GNU/Linux (main & contrib). Ça ne résoud rien mais cela
> > évite au moins d'oublier le problème.
>
> D'accord. Mais à ce niveau on est déjà dans la technique. C'est à
> intégrer dans la démarche d'accompagnement....
Identifier ce qui est libre, ce qui dépend du propriétaire et
ce qui est propriétaire n'a rien de technique. A la limite c'est
juridique si on se penche sur les détails. Dans tous les cas c'est une
information vitale lorsqu'on veut s'orienter vers/dans le Logiciel
Libre.
Vous êtes opposés à l'identification du caractère libre,
dépendant propriétaire, propriétaire sur chaque logiciel ?